samedi 24 avril 2010

Yuck














Encore très discret, Yuck se fait désirer et vous laisse planer dans un "ailleurs" en écoutant des voix presque solitaires, sans trop d'instruments, si ce n'est parfois des passages sans accompagnement. Et quand il y en a, la lenteur du rythme, les silences ou une longue note d'un piano d'humeur maussade, sont intimidants, prenants, peut-être même déchirants, suivant l'expression des sens de chacun. Ainsi donc, le titre Automatic est assez bouleversant. Au niveau du style, on se rapproche de Bon Iver ou encore de Shearwater. Si vous êtes au Royaume-Uni pour le WE, passez les voir (plus d'infos ici)!
C.

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